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22 janvier 2011 6 22 /01 /janvier /2011 14:37


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24 septembre 2010

Le documentaire «Chercher le courant», de Nicolas Boisclair et Alexis de Gheldere, sur les énergies vertes et le chantier hydroélectrique de la rivière Romaine, sera présenté en première mondiale aux 13èmes Rencontres internationales du Documentaire de Montréal (10 - 20 novembre 2010).

Les RIDM auront lieu dans six salles du centre-ville montréalais avant de se rendre à Québec (Cinéma Cartier) du 26 novembre au 2 décembre.

 



29 octobre 2010
 
 
2010-10-29-RIDM
 

«La mise en chantier des quatre mégabarrages sur la Romaine, l’une des dernières grandes rivières vierges de tout harnachement hydroélectrique sur le territoire québécois, a suscité plusieurs débats et remis en question la transparence des motivations d’Hydro-Québec et du Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE).

Avant que ne soit transformé à tout jamais ce coin de pays méconnu, l’écopédagogue Nicolas Boisclair et le journaliste-réalisateur Alexis de Gheldere ont rapporté les dernières images de la Romaine à l’état sauvage au terme d’une expédition de plus de 700 kilomètres, tout en discutant avec le comédien Roy Dupuis, président de la Fondation Rivières, sur la légitimité de ce type de projet à l’ère des systèmes énergétiques alternatifs.»


 
Source:
 
 

 

 
 
10 novembre 2010


L’hydroélectricité: la  meilleure  avenue?
 
Un  entretien  avec  Alexis  de  Gheldere,  coréalisateur  du  film  «Chercher  le  courant»


Par Catherine Perreault

 

 

CP: Votre film met aussi en vedette Roy Dupuis. Comment l’avez-vous approché?

 

AdG: Roy Dupuis, Fondation Rivières et d’autres organismes sont venus pendant 5 jours sur la rivière Romaine. Le but de leur expédition était de faire de l’échantillonnage de sol pour mesurer sa teneur en mercure. C’est important de le faire. Au moment de l’inondation du sol, lorsqu’on y installe un barrage, il y a beaucoup de mercure qui est libéré et qui vient contaminer la chaîne alimentaire. Cette contamination peut durer pendant plus d’une trentaine d’années.


Le voyage était long, alors on était heureux de croiser leur chemin! On a parlé à Roy Dupuis du film que l’on faisait. C’est une personne très rationnelle. Il a un parcours scientifique. Notre démarche l’intéressait. Il nous a donc proposé de participer à notre film et on a trouvé que l’idée était bonne puisqu’on avait la même vision, soit celle d’informer les gens sur les enjeux énergétiques.

 

Lire toute l'entrevue sur:

http://blogue.onf.ca

 


 
12 novembre 2010

 
Un  documentaire  avec  Roy  Dupuis  prend  l'affiche



MONTRÉAL - Le comédien Roy Dupuis ne joue pas un rôle dans le documentaire «Chercher le courant», qui sera présenté en première à Montréal et à Québec dans le cadre des Rencontres internationales du documentaire de Montréal (RIDM).


Le film des réalisateurs Nicolas Boisclair et Alexis de Gheldere permet plutôt de rencontrer Roy Dupuis en tant que co-fondateur de la Fondation Rivières, un organisme qui a pour mission de préserver, de restaurer et de mettre en valeur le caractère naturel des rivières.


Tourné à l'été 2008, le documentaire relate le parcours des deux cinéastes, qui ont décidé de parcourir les 500 kilomètres de la rivière Romaine en canot avec deux environnementalistes.


L’objectif de cette expédition de 46 jours était de filmer et de documenter l’écosystème de cette grande rivière sauvage du Québec, à un an du début du chantier hydroélectrique prévu par Hydro-Québec.


Leur aventure se déroule en parallèle avec celle de Roy Dupuis, qui enquête en compagnie d'experts sur le potentiel des énergies vertes et la manière de produire et de consommer de l’énergie dans le Québec du XXIe siècle.


La narration est assurée par Roy Dupuis, qui est également producteur associé, et la musique est signée Alexandre Stanké, Pascal Dufour et Yann Perreau.


«Chercher le courant» est présenté en première le samedi 13 novembre, à 19 h, à la Grande Bibliothèque. Une deuxième projection aura lieu le mardi 16 novembre, à 21 h 15, à la Cinérobothèque ONF.


Il devrait sortir en salles à l'hiver 2011.


Source:
 

 

2010/11 - «Chercher le courant» aux 13es RIDM
2010/11 - «Chercher le courant» aux 13es RIDM
2010/11 - «Chercher le courant» aux 13es RIDM
2010/11 - «Chercher le courant» aux 13es RIDM
13 novembre 2010 / Photos: © Marc Gibert / http://adecom-marc-gibert.photoshelter.com/image/I00004LexVG2wEk0

13 novembre 2010 / Photos: © Marc Gibert / http://adecom-marc-gibert.photoshelter.com/image/I00004LexVG2wEk0

 

18 novembre 2010

 

«Chercher  le  courant  ou  chercher  l'erreur»



Par Sarah-Emilie Nault

 


Sommes-nous toujours maîtres chez nous? C’est la question que se posent Nicolas Boisclair, Alexis de Gheldere et Roy Dupuis dans le troublant documentaire «Chercher le courant». Un film qui nous fait sentir citoyen à part entière, qui hurle à notre conscience sociale de s’ouvrir les yeux et surtout, un film qui regarde en avant.

 

Quarante-six jours d’expédition, deux jeunes réalisateurs amoureux de la planète et aussi verts que la nature même, un canot et une belle grande rivière, la Romaine, à une année d’être détruite par la construction d’un chantier hydroélectrique d’Hydro-Québec. Accompagnés de deux environnementalistes, Nicolas et Alexis se lancent dans un «river trip» touchant de 500 km qui les font pagayer de la source de la rivière au Labrador, jusqu’à son embouchure dans le Golfe Saint-Laurent. Leur but: archiver en vidéo et documenter l’écosystème d’une des dernières grandes rivières sauvages du Québec.

 

Roy Dupuis, président de la Fondation Rivières, n’apparaît pas dans ce film en tant qu’acteur mais bien à titre de citoyen impliqué et surtout préoccupé par le sort de l’environnement et l’exploitation de nos richesses. «Il faut être actif maintenant pour faire la différence plus tard», affirme-t-il dans le film. Il enquête donc sur le potentiel des énergies vertes et la manière de produire et de consommer de l’énergie dans le Québec du XXIe siècle. «Il faut changer les mentalités et les valeurs», ajoute-t-il visiblement troublé par ce qu’il découvre tout au long de l’aventure.

 

«Chercher le courant» est un geste citoyen, une prise de position non pas guidée par l’amertume mais reposant plutôt sur des faits bien établis. On y découvre diverses formes d’énergies vertes: l’énergie solaire, la biomasse, le biogaz, la géothermie, l’énergie du vent. On rencontre des spécialistes qui expliquent, certains avec colère, d’autres avec dépassement ou incompréhension mais tous avec passion, à quel point il serait possible pour le Québec de sauver énergie, environnement et argent si on se donnait la peine d’écouter et d’évoluer.

 

Il s’agirait en fait d’évoluer, à la façon XXIe siècle.

 

Le soir du visionnement, j’ai vu des larmes couler sur les joues rougies d’amoureux de la nature, du Québec, de la planète. Je me suis alors, comme eux, demandé: Qu’attendons-nous pour bâtir notre avenir avec audace, ingéniosité et courage?

 

* Présenté en première mondiale en novembre, au RIDM 2010, «Chercher le courant» souligne par le fait même l’anniversaire de la nationalisation de l’électricité par René Lévesque le 14 novembre 1962. *

 

Source:

http://patwhite.com/node/11698


 

Montréal, 21 novembre 2010

«Chercher le courant», film de Nicolas Boisclair et Alexis de Gheldere avec Roy Dupuis, remporte le Prix du public (Canal D) et une mention spéciale du jury du Prix Éco- Caméra lors des RIDM 2010 et annonce sa sortie en salle au Cinéma ONF du 28 janvier au 6 février 2011.

 

21 novembre 2010
 

RIDM:  quatre  documentaires  québécois  se distinguent

 

Par André Duchesne

 


Quatre documentaires québécois, Ce Coeur qui batLa Reine maladeChercher le courant et La nuit elles dansent s'inscrivent dans la palmarès 2010 des 13es Rencontres internationales du documentaire de Montréal (RIDM) qui se terminent aujourd'hui. Les lauréats ont été dévoilés hier soir à l'occasion de la cérémonie de clôture des RIDM qui avait lieu à l'auditorium de la Grande Bibliothèque....

 

.... Film très attendu et consacré à la lutte des écologistes pour la préservation des rivières québécoises, Chercher le courant de Nicolas Boisclair et Alexis de Gheldere était aussi présenté dans la section «ÉcoCaméra». Il a reçu une mention spéciale dans cette catégorie. Mais il a surtout décroché le toujours convoité «Prix du public» remis par Canal D.

 

Les deux réalisateurs y présentent les dernières images de la rivière La Romaine avant qu'elle ne soit harnachée par la mise en chantier de quatre grands barrages. Ils s'entretiennent aussi avec le comédien Roy Dupuis, président de la Fondation Rivières, sur la légitimité de ce type de projet.

 

Source:

http://moncinema.cyberpresse.ca/nouvelles-et-critiques/nouvelles/article/13279-ridm-quatre-documentaires-quebecois-se-distinguent-.html

 

 

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22 janvier 2011 6 22 /01 /janvier /2011 13:51


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31 octobre 2008

Qu’ont-ils à cacher?

30 octobre 2008 – DOC Québec vient d’apprendre que le Bureau d’Audiences Publiques en Environnement (BAPE) refuse l’accès à une équipe de tournage documentaire aux audiences publiques se déroulant présentement à Havre Saint-Pierre.

Le réalisateur du documentaire «Chercher le courant», Nicolas Boisclair, ne pourra pas enregistrer les questions posées par le public au promoteur du projet, Hydro-Québec, alors que le BAPE accorde l’accès aux équipes de tournage de la presse....

.... Le documentaire «Chercher le courant» est produit par les Productions du Rapide-Blanc, une des maisons de production s’étant taillée une excellente réputation au Québec dans le domaine du documentaire d’auteur et ayant contribué positivement à de nombreux débats de fond. Il serait regrettable, avec ce geste, de bâillonner les documentaristes.....

 
 
«Chercher  le  courant»


Documentaire de Alexis de Gheldere et Nicolas Boisclair
 
Produit par Nicolas Boisclair et Denis McCready

 

En 2009, Hydro-Québec démarre un nouveau chantier de quatre grands barrages hydroélectriques sur la Romaine, une des grandes rivières du Québec. Avant cette échéance, Nicolas Boisclair et Alexis de Gheldere se sont rendus à sa tête puis ont parcouru l’entièreté de cette rivière vierge.
 

Chercher le courant documente l’écosystème actuel et évoque les futures transformations radicales des différentes sections de la rivière, tout en se questionnant sur la meilleure façon de produire de l’énergie pour la société québécoise.


Lors de leur expédition, Alexis et Nicolas ont rencontré le comédien Roy Dupuis, également président-fondateur de Fondation Rivières. C’est avec lui qu’ils iront à la rencontre des experts québécois qui présentent les autres formes d'énergies renouvelables ayant fait leurs preuves comme partie intégrante de la révolution énergétique à plusieurs endroits dans le monde.

 
 

 
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29 janvier 2010 5 29 /01 /janvier /2010 17:38


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2003/11 - L'Invitation aux Images


1er novembre 2003


À  voir  à  la  télévision  le  lundi  3  novembre  (Télé-Québec,  21h):
La  mémoire  du  cinéma


Par André Lavoie 



Elle n'a pris que quelques rides. Et au fil des ans, accumuler des pellicules ne fut jamais pour elle une honte, mais plutôt une fierté, une vocation. Son engagement lui vaut aujourd'hui une renommée internationale... mais une trop grande méconnaissance de la part de spectateurs qui la croient, à tort, réservée à une élite cinéphilique: la Cinémathèque québécoise 
fête ses 40 ans et elle ne célèbre pas qu'entre ses murs. Après une semaine de portes ouvertes où tous étaient conviés à découvrir grands classiques et coups de coeur, l'institution va faire son cinéma au petit écran dans L'Invitation aux Images, de Jocelyn Barnabé.


L'acteur Roy Dupuis agit à titre de guide officiel, mais c'est le personnel de l'organisme qui ouvre véritablement les portes de lieux où même les plus fervents habitués ne s'aventurent jamais. Des créateurs de diverses générations associés au cinéma québécois, dont le compositeur Yves Laferrière et les cinéastes Louis Bélanger, Alanis Obomsawin et Anaïs Barbeau-Lavalette, s'amusent à fouiller ses coffres, «son ventre», pour dénicher souvenirs et perles rares. Une façon originale de montrer les diverses facettes d'une institution dont la mission est souvent mal comprise alors que la programmation de ses deux salles, Claude-Jutra et Fernand-Seguin, ne représente qu'une partie de ses activités.


Parfois porté par une poésie un peu lourde et des images léchées, ce qui donne à la visite un aspect solennel et pontifiant, L'Invitation aux Images cherche surtout à mettre en lumière une institution prestigieuse qui n'a pas encore tous les moyens de ses ambitions. La fréquenter, la soutenir, se laisser bercer par les histoires, passées et présentes, qu'elle veut nous raconter, c'est faire un geste contre l'oubli, pour la continuité du cinéma. Celui d'ici comme celui d'ailleurs.


Source:
Le Devoir - www.ledevoir.com
 


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Diffusé le 3 novembre 2003


SYNOPSIS



À l’invitation d’un archiviste imaginaire qui incarne l’esprit du lieu, quatre personnalités du monde du cinéma québécois et un enfant curieux partent à la recherche des trésors que protègent depuis 40 ans les voûtes de la Cinémathèque québécoise. Ils y découvrent le cinéma du cinéma, l’histoire de nos histoires, la mémoire de nos mémoires, et aussi un peu d’eux-mêmes. Car sans la Cinémathèque québécoise, c’est tout un pan de notre vie collective qui s’abîmerait sans retour sous la poussière de l’oubli.



Roy Dupuis, l’archiviste, Anaïs Barbeau-Lavalette, jeune réalisatrice, Louis Bélanger et Alanis Obomsawin, cinéastes, Yves Laferrière, musicien, et Arthur Therrien, cinéphile en herbe, sont les personnages de ce documentaire en forme d’aventure visuelle, qui a pour but de faire découvrir au public le rôle de notre cinémathèque, considérée comme la troisième en importance et en qualité dans le monde.

 



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10 janvier 2010 7 10 /01 /janvier /2010 14:35


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17 juin 1997

 
Roy  en  Rocket



Un court film est tourné ces jours-ci sur Maurice Richard, interprété par Roy Dupuis.



Le célèbre numéro 9 du Canadien entre ainsi dans la série didactique Minute du Patrimoine, qui découle d'un projet de la Fondation Charles R. Bronfman.
 

Dans ce court métrage, réalisé par François Labonté, un épisode survenu en décembre 1944 montrera comment le personnage de Maurice Richard a acquis une dimension héroïque auprès du public canadien-français.
 

Selon le producteur Robert Guy Scully, une série télévisée sur Maurice Richard est également prévue pour l'an prochain.


Source:
Archives Le Devoir - www.ledevoir.com
 
 
 


 
«Ce court documentaire racontait le match où le Rocket s'était permis une incroyable performance de cinq buts et trois aides, avec une épaule endolorie et une journée de déménagement derrière lui. Ça se passait le 28 décembre 1944.
 

Dans cette Minute du Patrimoine, on voit Marc Beaucage (qui incarne Elmer Lach, coéquipier de M. Richard à l'époque) avancer vers Maurice Richard, joué par Roy Dupuis, et lui donner un coup de poing sur l'épaule sensible pour lui souhaiter la bienvenue, avant le match. Le Rocket grimace de douleur. Beaucage se retourne et sourit.
 

Maurice Richard avait assisté à une partie du tournage, qui avait duré une douzaine d'heures.»


Source:

 
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